80 personne à Saint André jeudi 26 octobre pour demander un moratoire sur la mise en place du plan Néo-SMICVAL en Haute-Gironde et pour s’adresser à leurs élus afin que des réunions se tiennent dans toutes les communes, pour que la population puisse s’exprimer.
Les nombreuses interventions de la soirée ont mis en évidence le manque de transparence et de démocratie dans les décisions prises par le syndicat, loin d’une population « jouant le jeu » ou heureuse d’une « liberté d’apporter les déchets aux bornes quand ils le souhaitent » comme l’a récemment affirmé le Président du SMICVAL. Les incohérences économiques, sanitaires ou écologiques de ce plan ont également été relevées.
Parmi les actions entreprises ou à poursuivre, on note l’envoi d’un courrier aux élus des communes proposant à ces derniers de se positionner pour le moratoire, le soutien à l’organisation de réunions publiques, la signature de la pétition du collectif.
Loin de baisser les bras, cette réunion a permis de vérifier que l’opposition au plan Néo-SMICVAL est bien vivace. La présence d’élus, d’autres associations, montre également une volonté d’agir de manière concertée et résolue pour appuyer le mécontentement des habitants.